Curriculum vitae

Formation

1968 – 1970 Atelier Françoise Bizette, lycée technique à Sèvres.

1970 – 1974 Ecole Beaux-Arts de Bourges, atelier de Jean et Jacqueline Lerat.

1973 Diplôme National des Beaux-Arts.

1985 Construction d’un four à bois de 1 m³ type Sèvres.

Prix et distinctions

1972 Médaille d’or du Concours Vallauris jeunes céramistes.

2005 Prix de la Maison Marin au Salon d’Automne du parc floral de Paris, Vincennes.

Bibliographie

2024 Grands Feux 10ème édition, paru aux éditions Centre Céramique de La Borne

2023 Les céramophiles 10 ans de collections, paru aux éditions Le club des collectionneurs de céramique

2021 50 ans 50 artistes, paru aux éditions Centre Céramique de La Borne

2015 Bestiaire : Sculptures Céramiques, par Nicole Crestou, paru aux éditions La revue de la Céramique et du Verre

2000 Architecture de Feu, paru aux éditions Argile

Evènements

2017 – 2024 "Grands Feux" de La Borne

Expositions collectives

2024 Céramiques olympiques, Galerie terres d'Aligre, Paris

2024 The Firing: design options in ceramics, Galerie Handwerk, Munich

2024 Kulturforum Diessen a. A., Diessen sur Ammersee

2023 Micro-Folie musée numérique, La Villette, Paris

2022 Galerie Sophie Lévêque -Tot ou t'Art, Verdun

2021 ARTkos galerie , Mennetou sur cher

2019 Parcours d'Art Contemporain Art-gens, 10ème année, Cerdon du loiret

2018 Salon des Artistes Orléanais 45ème édition, Orléans

2017 Grands Feux, Centre céramique contemporaine La Borne

2016 Bestiaire, céramistes animaliers, Le Couvent de Treigny

2013 Rencontres Artistiques : 20 ans d’Art contemporain, Château de Villemenard Bourges

2013 De terre et d’eau, Le Château d'Eau Bourges

2009 Ateliers d'Art de France, Paris

2007 Insiders – Outsiders, Galerie Dupuis, Bruxelles

2007 10ème Rencontre internationale de céramique, Centre céramique contemporaine La Borne

2007 Salon d’Automne, Auteuil Paris

2006 Grès contemporain, Château de Saint-Amand-en-Puisaye

2005 Bestiaire insolite et Art Singulier, Centre céramique contemporaine La Borne

2005 Céramiques insolites, Saint-Galmier

2005 Salon d’Automne, Parc Floral de Paris

2004 Salon d’Automne, Espace Charenton Paris 12

2000 Réalisation du trophée Label bleu, spectacle pyrotechnique, Bourges

1993 La Borne expose à Issoudun!, Musée d’Issoudun

Expositions personnelles

2019 IllusionCentre céramique contemporaine, La Borne

2001 Galerie André Mathiau, Bourges

1997 Galerie Brigitte Klee, Darmstadt, Allemagne.

1996 Gros Toutou et Petits Bonshommes, au Centre céramiqueLa Borne

Jean GUILLAUME, céramiste d'art
Ci-dessus: Le foyer du four à bois
Cuisson l'occasion des rencontres
Ci-dessus: Le foyer du four à bois Cuisson l'occasion des rencontres "Grands feux" de la Borne, automne 2019
à propos

Illusions

Par Nicole Crestou

Carte Blanche

Jean Guillaume donne à ses sculptures un minimum d’éléments permettant de générer une histoire. Elles sont donc figuratives, bien que la femme, l’homme ou l’animal ne soient pas représentés de manière réaliste. Les corps sont simplifiés, tendent parfois vers une géométrisation des volumes, sans motifs de décor, sans couleurs excessives, sans détails superflus. Soit ils se dressent droits, fiers et statiques, soit ils sont en mouvement et particulièrement en d’étranges équilibres. En effet, une autre caractéristique des créations de Jean Guillaume, comme de sa personnalité, est l’humour, souvent issu de jeux de mots et de calembours, qu’il traduit dans l’argile par des assemblages de formes d’origines diverses, parties de corps, objets ayant changé de fonction. Auparavant, il a donné vie à des objets du quotidien, telles les Marmites espionnes au visage surgissant sous le couvercle, ou les pichets marcheurs, courant sur deux pattes. Dans les absences de précision des habits, des chevelures ou des expressions, l’imagination du spectateur trouve une place à combler, tout comme dans la recherche d’une explication à la situation offerte. Jean Guillaume supprime souvent le tronc, il crée ainsi des personnages en marche, composés de pieds, de jambes et de mains actives, ou simplement d’une tête sur pieds. Nulle atrocité dans ces mutilations, ces nouveaux êtres sont sereins et moins terrifiants que leurs illustres ancêtres, œuvres de Jérôme Bosch. L'homme composé d’une tête coiffée d’un bol, en équilibre sur deux jambes accrochées à l’emplacement des oreilles, et dont un reste de corps semble s’envoler à l’horizontale, est décliné en plusieurs sculptures de taille différente. Le visage blanc, inexpressif et plat, au seul nez saillant, à la bouche discrète et fermée, pose un regard fixe, droit devant. La pupille est un petit trou ou un gros rond noir entouré du bleu turquoise qui recouvre également ses vêtements. Ce bleu turquoise et le rose - des engobes - sont les deux couleurs vives qui s’opposent au blanc et aux bruns nuancés du grès brut cuit au bois. Toutes les couleurs sont mates afin de ne pas renvoyer la lumière qui perturberait la lecture des volumes.
Hommage Jérôme Bosch
En cours de séchage
Hommage Jérôme Bosch En cours de séchage
Les plus récentes sculptures ici exposées, qui sont issues de la dernière cuisson lors des « Grands Feux » d’octobre 2019, représentent soit des mains, soit des visages. Les mains sont anguleuses, comme taillées au couteau dans une argile déjà ferme. Elles sont ouvertes ou refermées sur un bol, sur une énigmatique barre bleue ou sur elles-mêmes. Les têtes sans cou, sans oreilles, chauves, sont des volumes ovalisés comme un galet qui privilégient uniquement la face, réduite elle aussi au minimum : un nez pointu, une petite bouche aux lèvres pincées, mais les yeux ouverts, seuls témoins d’un hypothétique mouvement, en regardant à gauche ou à droite, et d’une éventuelle expression de soumission, de passivité. Ces têtes sont collées, superposées en diverses orientations ; deux ou trois petites s'enroulent autour d’une ou deux plus volumineuses, c’est la famille, parents et enfants, anonymes et asexués. Les yeux questionnent en se regardant mutuellement, ou certains, au contraire, sont tournés vers l’extérieur. À partir de là, l’histoire reste à imaginer. Ces têtes oblongues, aux couleurs minérales, suggèrent également un amoncellement de pierres, un retour de la terre à ses origines, mais aussi un clin d'œil aux rochers sculptés bretons. Jean Guillaume dessine, croque ses idées et choisit celle qui lui donne l'envie de sa transposition en volume. Après la mise au point d’une maquette, il commence la pièce finale. Il veut étonner et surprendre celui qui regarde. Il est un adepte des doubles sens. Il est influencé par l’illustration des dessinateurs de presse du XIXe siècle, notamment Grandville qui, par le trait, donne la parole aux images. Mais Jean Guillaume n’a pas de message, il capte l’attention du spectateur, lui suggère un titre, qui nomme en fait toutes les sculptures réalisées sur le même thème, et laisse sa fantaisie inventer l’avant ou la suite de la situation du personnage sculpté. Jean est un inconditionnel de la cuisson au bois, il aime les contraintes des préparatifs, la coupe, le fendage du bois, comme la précision de l’enfournement. Puis il vit la cuisson elle-même comme un moment d’exception pour la magie du feu, la transformation de la matière, la fusion, l’odeur, les crépitements du bois… et bien évidemment, il en aime le résultat, les nuances de matières et de toucher, les contrastes de couleurs temperés par les cendres et les effets de la réduction de cuisson dans le four de type Sèvres. Jean reste attaché aux techniques apprises auprès de Françoise Bizette, puis de Jean et Jacqueline Lerat, d’excellents enseignants qu’il n’a pas oubliés. Cette exposition d’une quinzaine de sculptures, dans une mise en scène originale, propose une nouvelle appropriation de l’espace Carte Blanche et questionne l’Illusion.
La Famille
Détail
La Famille Détail
Ci-dessus: La Famille
Pièce en cours de séchage
Ci-dessus: La Famille Pièce en cours de séchage
à propos

à la recherche d'autres mondes

Par Jean-François Lerat, né à La Borne en 1946

Après 1990, avec ma mère, Jacqueline Lerat (1920-2009), j’allais chercher les terres qu’elle conservait dans son ancien atelier de La Borne. Après un thé traditionnel chez Elisabeth Joulia (1925-2003), nous repartions souvent par Morogues saluer le couple Claudie et Jean Guillaume. Pour Jacqueline, ses anciens étudiants faisaient resurgir les souvenirs bénis d’une période où elle avait mis beaucoup de son énergie. Depuis ces années, les œuvres de Jean Guillaume m’ont attiré et intrigué. Ce qui m’a le plus frappé dès ces premières rencontres, c’est l’adéquation, l’harmonie qui existe entre le personnage de Jean Guillaume et son travail. La dimension psychanalytique de ses recherches m’intriguait. Que cachait-il ? Difficile à décrypter, car Jean est protégé par son humour. Une première réponse a été l’achat régulier d’un des rares objets usuels qu’il a créés et multipliés. Il m’a fasciné dès le début. C’est une tasse tenue par un bras. J’en possède quelques-unes, car cette relation entre le buveur, sa tasse et cette main si réaliste m’impressionne. Le café y a une saveur particulière. Après le décès de ma mère en 2009, nous sommes restés proches. Petit à petit, il m’a livré quelques rares confidences qui m’ont permis de mieux comprendre ses recherches et d’écrire aujourd’hui sur son travail.
Tasse à bras
Tasses, 2019
Grès
Cuisson au bois
Hauteur: 12 cm
Tasse à bras Tasses, 2019 Grès Cuisson au bois Hauteur: 12 cm

Ressources

Jean Guillaume a commencé à modeler dans la cave de ses parents au moment de son adolescence. Est-ce un souvenir des cavernes préhistoriques ? Peut-être… Ses parents se tournent vers l’institution la plus proche de la manufacture de Sèvres, le lycée Pilote où il intègre avec grand plaisir l’atelier de Françoise Bizette (1914-1996), peintre et céramiste. Après deux ans d’exploration des techniques, il rallie l’École Nationale des Beaux-Arts de Bourges pour améliorer sa formation « céramique ». L’atelier tenu par Jean et Jacqueline Lerat est à son apogée avec son mythique four à bois. Il ne se doute pas qu’il va devoir gravir la voie difficile de l’Art. Jacqueline Lerat écrit cette époque pour ses étudiants : « Faire de la céramique, c’est vouloir essayer de vivre en travaillant la terre. » Elle est intraitable avec eux. Certains qui voulaient d’abord apprendre des techniques et des tours de main ont pu être déçus. Elle écrit en 1972 à Jean Guillaume : « Ce serait dommage d’arrêter une certaine verve (sans vulgarité). Continuez à explorer. Appliquez-vous à faire aboutir vos idées. » C’est un étudiant doué qui reçoit à Vallauris la médaille d’or des jeunes céramistes en 1972. Je ne connais que les 30 dernières années d’activité de Jean Guillaume, époque à laquelle je me suis rapproché de ma mère et de Bourges. En fait, c’est au cours de cette période qu’il a développé cette recherche d’un langage plus personnel qui nécessite un dépassement et une certaine maturité. Longtemps, il s’est attaché à faire découvrir les argiles à des jeunes et à des adultes intéressés. Alain Babel (1943-2018), céramiste qui habitait sur la même place à Morogues, l’a invité à l’institut « Le Chatelier » de Saint Florent sur Cher (18400) pour l’aider dans son travail auprès d’enfants autistes ou ayant un handicap mental. Il a pu découvrir l’immense richesse de ces contacts parfois difficiles. Aussi, quand l’équipe soignante lui a proposé de prendre la succession, il a accepté avec enthousiasme. Le travail de 2008 à 2015 avec ces enfants a été un moment très fort pour l’évolution de son œuvre actuelle. Il s’est consacré complètement à ces relations avec les pensionnaires et les thérapeutes, délaissant un peu son activité de céramiste. Nous en parlions lors de nos arrêts à Morogues. Pour Jean Guillaume, cela a été des moments de vraie vie.
Théière
Théière "espionne" Théière, 2019 Grès engobé Cuisson au bois Hauteur: 24 cm Longueur: 18 cm
Lorsque l’on regarde une sculpture aujourd’hui, on la voit en perspective avec toutes les expositions, tous les livres et les informations dispensées par les différents médias qui ont pu imprimer notre mémoire. Je me pose souvent la question : « L’ai-je déjà vue ? » Dans le cas de Jean Guillaume, je n’ai pas trouvé de repères évidents dans les différents champs de l’art. Peut-être chez le peintre Victor Brauner (1903-1966), un des compagnons du surréalisme, existe-t-il des formes, des couleurs et des atmosphères qui pourraient susciter des réflexions. André Breton (1896-1966) dit, de l’œuvre de Brauner, une phrase qui permet, à mon avis, de mieux comprendre les céramiques de Jean Guillaume : « Le désir et la peur président par excellence au jeu qu’il mène avec nous, dans le cercle visuel très inquiétant où l’apparition lutte crépusculairement avec l’apparence. » Ce texte souligne l’aspect inquiétant de l’œuvre, en décalage avec la réalité. Pour les grès, le matériau qui conserve son potentiel naturel, ce décalage exprimé avec les formes et les couleurs est plus subtil. Le lien avec le surréalisme m’a cependant paru opportun, ce que m’a confirmé Jean. Comprendre sa relation avec la peinture ouvre de nouvelles voies d’appréhension plus riches qu’avec la seule sculpture. Dans son cas, il faut sortir ses céramiques de l’univers du matériau pour les confronter à tous les domaines de l’art et de notre société mondialisée. Nous pouvons ainsi penser aux dessins des hommes préhistoriques dans les cavernes. C’est la rigueur de ces lignes et surtout les enduits de terre qui rappellent les engobes qu’il utilise. Au Moyen Âge, les sculpteurs des églises romanes transforment les animaux et les hommes avec un humour qui persiste aujourd’hui dans le Berry chez Jean Guillaume. Plus récemment, l’influence des dessinateurs de bande dessinée est bien présente avec le trait clair et l’efficacité de l’expression. Enfin, nous ne pouvons pas, après le surréalisme, ne pas citer Jean Dubuffet (1901-1985) et l’art brut qu’il nous a fait découvrir. Le passage dans une grande école d’art peut enlever ce lien avec la créativité première qui existe depuis la naissance chez chaque être humain. Jean Guillaume l’a gardée enfouie jusqu’à la magnifier vers le milieu des années 1990. Son récent passage à l’institut Le Chatelier a montré l’authenticité de sa démarche. Toutes ces sources, lorsque je lui en ai parlé, Jean Guillaume les a revendiquées comme susceptibles de faire partie de son univers. Avec son humour très présent, il évite de tomber dans le sérieux académique. Chez Jean Guillaume, je retrouve l’humour de Jean Lerat (1913-1992) qui permet une certaine distance vis-à-vis de l’œuvre accomplie.
Sculpture 
d'après un dessin d'André Mathiau
Sculpture d'après un dessin d'André Mathiau

Un environnement favorable ?

L’histoire de l’art permet à l’artiste de disposer de multiples sources d’inspiration, mais c’est son environnement qui lui offre tout un champ de recherches. La famille, la géologie (c’est parfois important pour un céramiste), les forêts et les stères de bois de chauffage, l’histoire et la société apportent leur lot d’aventures. Vivre avec une céramiste, c’est vivre avec un autre univers. Sa femme, Claudie Charnaux-Guillaume, est venue à Bourges pour son atelier de céramique. Excellente peintre, elle développe aujourd’hui l’univers des pots, ceux qu’on utilise souvent, faits d’émail, et de décors joyeux. Jean Guillaume veut cette relation avec la nature. Lorsque je lui ai parlé d’émail, il m’a répondu : « Je n’en utilise pas ! » « Ce que je recherche, c’est un aspect minéral, apporté par la flamme de la cuisson au bois sur les engobes. » Le four à bois est essentiel dans son processus de création avec ses engobes. Il est un élément central pour le travail de l’artiste. C’est un descendant du premier four à bois amené par Paul Beyer (1873-1945) de Sèvres à La Borne en 1942. Il reprend certaines caractéristiques du modèle construit par Jean Lerat pour l’École des Beaux-Arts de Bourges. Il est parfaitement entretenu, comme une Ferrari. D’un côté, des piles de chênes bien fendus, parfaitement calibrés et soigneusement rangés. Sa relation avec son four est marquée par l’inquiétude qu’il n’obéisse pas à son grand prêtre. Il lui apporte toutes les marques de respect et d’affection qu’il mérite. J’ai senti le stress qui montait chez Jean dans la dernière heure, lors d’une cuisson. La dernière montre allait-elle fléchir, délivrant la fin de l’étape ?
Le four à bois type Sèvres à Morogues
Le four à bois type Sèvres à Morogues

Perspectives

Pourquoi ne pas cacher une âme dans une soupière, comme Aladin sort de la lampe à huile ? Dans le film de 1946 de Jean Cocteau (1889-1963) « La Belle et la Bête », un couloir est éclairé par des candélabres, bras humains, qui donnent à la scène une grande étrangeté poétique que Jean Guillaume apprécie. C’est une œuvre jeune par son absence de concession sur les matériaux et l’esthétique. Avec le temps, Jean Guillaume retrouve les temps de son enfance. S’il reste modeste, cela n’occulte pas l’ambition nécessaire. Car en risquant de choquer, d’innover en présentant ces combinaisons de corps d’objets du quotidien, il fait preuve d’une grande lucidité. Cette métaphore autour de la société de consommation et la santé quotidienne me paraît très contemporaine. La sophistication de l’idée s’appuie sur une qualité de réalisation parfaite. Les recherches de Jean Guillaume sont méconnues. Lorsque l’on propose à un collectionneur qui vient voir des grès à La Borne d’aller jusqu’à Morogues, on a rarement un acquiescement. Ne pas honorer la mode, peu communiquer, poursuivre sa voie est difficile. Dans ses œuvres des trente dernières années, Jean Guillaume fait la preuve de sa créativité en s’appuyant sur notre histoire. En 2020, on peut affirmer que Jean Guillaume a fait aboutir ses idées, tout en conservant sa verve. En développant un univers mystérieux, il ajoute à la nature qu’il modèle, ses angoisses et ses joies. Ces œuvres font partie des pépites que l’on peut trouver dans le pays de La Borne en parcourant les ateliers. Ils sont ouverts toute l’année. Une pancarte indique une vie. Ce n’est pas compliqué. Il suffit de parcourir les petites routes et les chemins qui ont rebuté certains amateurs, peut-être inquiets de rencontrer quelque bandit de grand chemin. Vous ne risquerez rien en allant chez Jean Guillaume… peut-être une surprise.
"Soupière espionne" Boîte, 2008 Grès engobé et oxydes Hauteur: 28 cm

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Par Nicole Crestou

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Grès

Ce que je recherche, c'est un aspect minéral, apporté par la flamme de la cuisson au bois sur les engobes.

Jean Guillaume

Curriculum vitae

Jean Guillaume, né en 1949 à Salon de Provence

Formation, Prix et distinctions, Parcours professionnel, Bibliographie

Principales expositions

Expositions collectives, expositions personnelles

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Jean GUILLAUME, céramiste d'art